10 conseils pour rédiger un document de référencement bien référencé

Nous publions deux articles par semaine chez Plezi. Jusqu’à présent, nous avons vu pas mal de textes ! Nous avons des articles à la position zéro, des articles piégés dans les méandres des pages 35… Bref, nous avons eu le temps de développer régulièrement notre approche, notamment le SEO (aussi appelé « Search Engine Optimization ») de notre blog.

Par itération, nous sommes arrivés à un processus que nous appliquons à chaque nouvel article pour l’optimiser au maximum. Nous vous avons déjà parlé dans un article de l’optimisation du référencement de vos articles déjà publiés. Mais attaquer cette optimisation dès la phase de briefing vous facilitera la vie, croyez-nous !

En plus du processus que nous partageons ici, vous pouvez retrouver notre modèle de brève d’article dans notre kit dédié. Retrouvez tous nos conseils pour optimiser le référencement de vos articles dès leur conception.

1. Trouvez un mot-clé principal, tenez-vous-en à ce mot et construisez une longue traîne

Trouver une bonne idée pour un article n’est jamais facile. Cependant, le référencement peut aider ! Pour ce faire, commençons par un sujet que nous voulons couvrir. En cherchant autour d’un sujet sous la forme d’un mot-clé, nous pouvons trouver assez facilement un bon mot-clé principal pour un nouvel article.

Par exemple, dans notre dernier article :  » Nous avons testé les 3 meilleures plateformes de webinaires pour vous « , notre mot-clé principal était, sans surprise…. « test de plateforme de webinaire » !

Pour aider à choisir le bon mot-clé, nous n’avons pas trouvé mieux que ahrefs qui permet de voir l’évolution des différents mots-clés avec leur coût par clic, leurs éventuels sujets associés, le volume de recherches… Si vous avez déjà vu le type d’article que vous voulez écrire en ligne, n’hésitez pas à analyser également leur positionnement : sur quel mot-clé se sont-ils positionnés ?

1. Trouvez un mot-clé principal, tenez-vous-en à ce mot et construisez une longue traîne

Trouver une bonne idée pour un article n’est jamais facile. Cependant, le référencement peut aider ! Pour ce faire, commençons par un sujet que nous voulons couvrir. En cherchant autour d’un sujet sous la forme d’un mot-clé, nous pouvons trouver assez facilement un bon mot-clé principal pour un nouvel article.

Par exemple, dans notre dernier article :  » Nous avons testé les 3 meilleures plateformes de webinaires pour vous « , notre mot-clé principal était, sans surprise…. « test de plateforme de webinaire » !

Pour aider à choisir le bon mot-clé, nous n’avons pas trouvé mieux que ahrefs qui permet de voir l’évolution des différents mots-clés avec leur coût par clic, leurs éventuels sujets associés, le volume de recherches… Si vous avez déjà vu le type d’article que vous voulez écrire en ligne, n’hésitez pas à analyser également leur positionnement : sur quel mot-clé se sont-ils positionnés ?

Pour trouver un premier aperçu des mots-clés pertinents, vous pouvez utiliser la fonction « Idées de contenu » de Plezi.

2. Renforcer votre champ sémantique

Les mots-clés seuls ne suffisent pas. Un champ sémantique est un ensemble de mots associés à un thème particulier, et permettra de renforcer le référencement de notre article. Une fois que nous avons trouvé notre mot-clé principal, il nous manque :

  • De notre point de vue, la principale question à laquelle répond notre article est la suivante ;
  • Les questions et les thèmes associés à notre mot-clé principal.

Pour avoir une bonne idée des questions posées par les internautes sur votre mot-clé , Google est votre ami ! Les rubriques « autres questions posées » sous vos premiers résultats et « recherches connexes » en bas de page sont des mines d’informations : thèmes, mots-clés… Et sont utiles pour élaborer un plan qui colle aux attentes des utilisateurs.

Chacun des mots-clés secondaires identifiés devient une des « têtes » de notre champ sémantique. Un outil comme 1.fr nous permet ensuite de sortir des listes de mots souvent associés sur le web à chacune de nos recherches. En quelques clics, nous pouvons avoir :

  • une liste de mots-clés pour enrichir notre mot-clé principal ;
  • des listes secondaires de mots-clés enrichissant notre champ sémantique.

Par exemple, pour un article dont le mot clé principal est « article sur le référencement », nous avons :

  • repérés, dans les recherches connexes et autres questions posées, les mots-clés « article web », « référencer un article », « rédiger un article SEO », « définition d’un article SEO »… ;
  • tiré une liste de mots-clés autour de « article SEO » sur Plezi via la fonction « Idées de contenu » ;

Nous avons donc sous les yeux plusieurs listes cohérentes de mots-clés, dont beaucoup se recoupent. On peut donc les garder à l’œil tout en écrivant ou les transmettre à notre rédacteur, pour les ajouter naturellement dans le texte, quand on le peut !

En tenant compte de ces considérations si tôt, nous évitons des réécritures ou des ajouts importants à l’article : la structure de l’article répond à ces questions, et la liste de mots est une bonne aide à la rédaction.

3. Faites attention à la structure de l’article

Les algorithmes des moteurs de recherche comme Google se basent sur leur compréhension du texte pour classer les articles. Plus il est compris, mieux il sera référencé. Pour cela, il faut suivre quelques règles d’or et conserver ce qui suit :

  • un titre (appelé Titre) qui apparaît dans les moteurs de recherche ;
  • une balise H1 (qui peut être identique à votre titre) et qui apparaît sur la page de votre article ;
  • des paragraphes principaux appelés H2 (au moins 2 sont nécessaires pour que les robots de Google comprennent le sens général de l’article) ;
  • des sous-parties (de H3 à H6) qui correspondent aux sous-parties de votre texte (minimum 2 à chaque fois).
  • N’ayez pas peur des balises ! Sélectionner « Titre 1 » et « Titre 2 » dans WordPress ou dans l’éditeur de votre article ajoutera automatiquement les balises.

Notre petite astuce : dans les articles très longs, les ancres (présentes dans l’intro pour permettre aux lecteurs d’aller directement à la section qui les intéresse) permettent d’ajouter des mots-clés et de faciliter la lecture.

Sachez également que Google Bert, l’algorithme de Google, n’est capable d’analyser qu’un nombre limité de groupes de mots-clés dans son analyse sémantique. Plus vous fractionnez votre texte avec des titres, plus vous maximisez vos chances d’être correctement compris par les petits robots de Google…..

4. Ajouter des images et vidéos… et les optimiser

Ajouter des images et des vidéos dans votre article est un très bon moyen de booster votre référencement naturel. Google adore les articles bien illustrés, c’est carrément plus agréable à lire, alors n’hésitons pas ! De notre côté, c’est systématique.

Cette manipulation nous permet aussi d’être référencés dans Google Images, ce qui ramène aussi du trafic web de la part de visiteurs qui ne nous auraient peut-être pas trouvés autrement : raison aussi de faire des visuels avec notre marque et faciles à identifier.  

Chose importante : Google ne « voit » pas les images, seulement les descriptions que nous en faisons. Dans sa balise de description, nous décrivons brièvement chaque image dans une phrase compréhensible. Si un mot-clé pertinent peut également être ajouté, nous le faisons, mais nous n’essayons pas de bourrer l’espace de mots-clés. Non seulement cela est pénalisé par l’algorithme, mais ce n’est surtout pas agréable pour nos lecteurs malvoyants.

Afin de ne pas ralentir le temps de chargement, nous compressons toujours nos images : chez Plezi, nous utilisons TinyPNG, mais les solutions gratuites sont nombreuses.

5. Lier nos articles entre eux avec le maillage interne

Le maillage interne consiste à lier entre eux plusieurs de nos articles ayant des thèmes similaires. Du point de vue du lecteur, il est plus fluide : les visiteurs sont libres de passer d’un article à l’autre et d’en apprendre davantage sur tous nos sujets.

Préparer son maillage interne dans le court permet de gagner un temps de conception précieux. En effet, en recherchant des articles auxquels nous pourrions lier notre nouveau contenu, nous pouvons :

  • structurer notre article en fonction des informations déjà données ;
  • nous rendre rapidement compte si l’article que nous voulons faire existe déjà (oui, ça arrive !) ;
  • créer un cocon sémantique petit à petit, au fil des questions de nos prospects. 

Du point de vue du référencement, c’est également essentiel : Les robots de Google se perdent parmi toutes les pages de notre site Web. L’offre de liens les aide à retrouver des groupes d’articles et, d’une certaine manière, démontre notre expertise sur des sujets spécifiques et leur permet de comprendre comment notre site est construit.

Ainsi :

  • Nous avons l’air plus “solides” et sommes plus faciles à naviguer pour Google qui est plus susceptible de faire remonter nos résultats ;
  • Nos taux de rebond diminuent si un lecteur approfondit ses recherches et reste plus longtemps sur le site : les moteurs de recherche savent que notre site plaît et ils nous font remonter dans les résultats !

Par exemple, pour cet article, nous inclurons dans notre plan des liens vers d’autres contenus susceptibles de vous intéresser sur le même sujet, comme par exemple comment créer un cocon sémantique. L’important est de s’en tenir à des suggestions pertinentes et d’éviter d’utiliser les mêmes termes à plusieurs reprises lors de la création de liens internes. Google méprise les tentatives pour le piéger !

6. Soigner la meta description

La méta-description (ou « extrait » si vous utilisez WordPress) est un texte bref qui décrit notre article afin de capter l’attention des lecteurs.

Avec la balise « Title », qui n’est pas utilisée tout le temps, on parle d’éléments qui n’apparaissent que dans les résultats des moteurs de recherche.

Vous pouvez taper jusqu’à 300 caractères, mais seuls les 160 premiers apparaissent comme sous-titres dans Google. Le mieux : une description claire qui donne envie de lire la suite et qui place notre message principal. Je vous promets qu’avec de la pratique, cela deviendra plus facile !

7. Ne pas oublier son URL

Le titre de la page, l’URL et la méta-description sont les trois facteurs les plus importants de l’optimisation des moteurs de recherche.L’URL étant générée automatiquement, il est facile de l’oublier. Elle peut être en mesure de nous faire gagner quelques places dans le classement en modifiant quelques paramètres.

Notre URL doit être courte et contenir notre mot-clé principal. Notre conseil : évitez tous les articles ou pronoms tels que  » le « ,  » la « ,  » au « ,  » du « , etc, qui servent de référence mais font perdre de précieux caractères. Par exemple, si notre article s’intitule « Les 10 fondamentaux pour optimiser votre article pour Google », notre URL sera « fondamentaux-optimiser-article-Google« .

8. La longueur de l’article

Les articles sont considérés comme SEO friendly en moyenne dès qu’ils atteignent 880 mots. Cette tendance est toutefois en train de changer : la priorité est donnée aux contenus lents, aux articles plus longs qui prennent leur temps pour développer leur sujet. En conséquence, un article d’environ 2000 mots a beaucoup plus de chances d’être référencé.

La clé est de  » ne pas avoir peur d’investir du temps dans la création d’un contenu bien conçu et de haute qualité, adaptée à notre public cible… cesser d’en faire moins « . Attention toutefois à ne pas s’éterniser sans rien dire. Il est préférable d’avoir un article de 300 mots qui répond à la question du visiteur qu’un article de 2000 mots qui ne le fait pas !

9. Tester le SEO et affiner une fois le texte écrit

Avant de publier, soumettre à nouveau son article à la moulinette du référencement peut permettre quelques ajustements de dernière minute qui se traduisent par un meilleur classement. Une fois terminé, copiez votre texte dans votre outil d’optimisation préféré pour évaluer votre position estimée.

Nous pouvons apporter quelques modifications sur la base des suggestions de votre outil, comme remplacer certains mots par des synonymes ou mieux aligner certaines phrases… Bien sûr, nous devons toujours garder à l’esprit les intentions de nos prospects et n’inclure que les mots-clés les plus pertinents. Nous n’écrivons pas pour Google, mais pour des gens !

Avec la Google Search Console, vous verrez aussi grâce à ce tuto comment trouver de nouvelles intentions auxquelles vous n’auriez pas pensé ! L’occasion de mettre à jour l’article ou d’en créer de nouvelles.

10. Bien benchmarker… pour vous détacher du lot

Nous ne mentons pas ; si vous avez déjà lu des articles sur le sujet que vous souhaitez explorer, n’abandonnez pas le navire ! Nous lisons les articles de nos concurrents, de nos partenaires, de nos sources d’inspiration pour mieux comprendre comment tel ou tel sujet a été traité et comment. Le plus important est d’éviter de tomber dans la paranoïa ou le duplicate content, qui ne fait qu’ajouter du bruit au bruit.

Rand Fishkin nous conseille de créer des contenus dix fois meilleurs que ceux de nos concurrents afin de nous distinguer. C’est à cette seule condition que l’on a le droit d’aller voir ce qui se passe ailleurs !

Heureusement, pour le référencement, ce n’est pas aussi difficile qu’il n’y paraît. L’important est d’y réfléchir par rapport au concept de l’article afin de se faciliter la tâche à l’avenir. Vous avez déjà fait la majeure partie du travail en suivant nos conseils.

Une fois que vous avez publié votre contenu, vous pouvez utiliser notre liste de contrôle du référencement pour le nouveau contenu afin d’améliorer votre classement. Vous remarquerez que cela se fait naturellement après un certain temps… Et vos résultats parleront d’eux-mêmes !

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